A partir de recherches en cours sur les relations frontalières, il s’agit ici d’apporter quelques éléments sur la problématique de géographie sociale en tant que géographie des rapports sociaux.
Pour se faire, deux axes problématiques seront privilégiés : celui des inégalités et des différences sociales d’une part, et celui du pouvoir et des rapports de force d’autre part. Ces deux axes devant permettre de comprendre la nature et la forme des rapports sociaux qui se matérialisent dans le cadre des relations frontalières. Ceci nous amenant à revenir sur la notion de fronts sociaux en considérant les zones frontalières comme des zones d’ajustement des rapports sociaux.
Finalement, de la multiplicité des réalités sociales (inégales et différentes) matérialisant la nature et la forme des rapports sociaux, nous en arrivons à illustrer une approche de la géographie sociale, celle d’une géographie des rapports sociaux (Robert Hérin, 1986), à même selon nous de comprendre et de décrypter la production des espaces.
Communication au colloque
Pour se faire, deux axes problématiques seront privilégiés : celui des inégalités et des différences sociales d’une part, et celui du pouvoir et des rapports de force d’autre part. Ces deux axes devant permettre de comprendre la nature et la forme des rapports sociaux qui se matérialisent dans le cadre des relations frontalières. Ceci nous amenant à revenir sur la notion de fronts sociaux en considérant les zones frontalières comme des zones d’ajustement des rapports sociaux.
Finalement, de la multiplicité des réalités sociales (inégales et différentes) matérialisant la nature et la forme des rapports sociaux, nous en arrivons à illustrer une approche de la géographie sociale, celle d’une géographie des rapports sociaux (Robert Hérin, 1986), à même selon nous de comprendre et de décrypter la production des espaces.